Alors c’est vrai que pour une personne radicalement oisive, faire compliqué quand on peut faire simple, c’est un grand non.
Mais il faut faire la différence entre ce qui est inutilement compliqué dans l’absolu (comme faire cinq allers-retours quand on pourrait n’en faire qu’un seul), et ce qui est « inutilement » compliqué parce qu’allant à contresens de la société.
Je n’ai pas lu l’Éloge de la paresse ou d’autres ouvrages de référence sur les vertus supposées de l’oisiveté, radicale ou autre. La flemme. Comme d’habitude, j’essaie de tirer les leçons de la situation et de mes propres expériences, en réinventant fatalement le fil à couper l’eau tiède.
Pour moi, l’#oisivetéRadicale, ce n’est pas un programme ou une plate-forme ou un manifeste, mais ce n’est pas non plus qu’un simple slogan.
J’ai essayé de faire un petit graphique pour tenter d’aider les personnes qui n’y connaîtraient ou n’y comprendraient à peu près rien à s’y retrouver pour voter aux #élections législatives.