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from norise

Si spalma la luce

“come ti butta?“ i passeri hanno fatto il nido primavera s’infiora la luce si spalma sugli alberi le case quanto a me una distanza mi separa sempre da me

13.5.25

. Giordano Genghini nel gruppo Amiche e amici in Facebook: Ho apprezzato moltissimo questa lirica rivestita di polisemia, testimonianza di un tuo stile, e di significati, che, a mio parere, col passare del tempo diventano, se possibile, sempre più belli, intensi, suggestivi. All’iniziale e gergale battuta, indizio di un dialogo fra indeterminati amici o conoscenti che si sono incontrati, fa qui seguito uno sguardo, a mio avviso espresso in modo poeticamente sublime, ad immagini in cui si incarna la primavera: “i passeri hanno fatto il nido / primavera s’infiora la luce / si spalma sugli alberi le case” (importante è notare che, come il titolo della lirica ci fa comprendere, fra “s’infiora” e “la luce” dobbiamo percepire una cesura sottintesa, in quanto “la luce” è il soggetto che regge “si spalma” come predicato verbale, dopo il bellissimo enjambement. Gli ultimi due versi, nella loro ineffabile bellezza e tensione poetica ed emotiva, non posso osare commentarli, ma solo trascriverli, incantato dalla loro impareggiabile meraviglia e dallo stupore che hanno lasciato in me: “quanto a me una distanza / mi separa sempre da me”. Grazie infinite, Felice, per avere donato questi tuoi versi all’ammirazione mia e del gruppo…

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from Chez Looping

If de Rudyard Kipling, une introduction au stoïcisme

Vénérable maître, et vous tous, mes frères…

Écrit en 1895 et publié en 1910 et dédié à son fils John, le poème If de Kipling nous est surtout connu par la magnifique adaptation de André Maurois, publiée en 1918 sous le titre : “Tu seras un homme, mon fils”. La version de Maurois magnifie le poème original avec une grande liberté, tout en respectant parfaitement son esprit. Comme nous le verrons au fil de cette planche, le poème original est légèrement différent de ce que nous en connaissons.

John fut réformé pour la Première Guerre mondiale à cause de problèmes de vue. Il demanda à son père d'user de son influence pour qu'il puisse rentrer dans l'armée. Mais John Kipling meurt lors de sa première bataille, en 1915, à l'âge d'à peine dix-sept ans. Cette connaissance confère au poème une profondeur tragique, transformant un conseil paternel en un legs intemporel, imprégné de la fragilité de la vie. Cette dimension intime du poème ne retire rien à son aspect universel, qui résonne avec les principes fondamentaux du stoïcisme, et aussi avec notre démarche initiatique.

Adaptation de André Maurois

“Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir, Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties Sans un geste et sans un soupir ;

Si tu peux être amant sans être fou d’amour, Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre, Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour, Pourtant lutter et te défendre ;

Si tu peux supporter d’entendre tes paroles Travesties par des gueux pour exciter des sots, Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles Sans mentir toi-même d’un mot ;

Si tu peux rester digne en étant populaire, Si tu peux rester peuple en conseillant les rois, Et si tu peux aimer tous tes amis en frère, Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ;

Si tu sais méditer, observer et connaître, Sans jamais devenir sceptique ou destructeur, Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître, Penser sans n’être qu’un penseur ;

Si tu peux être dur sans jamais être en rage, Si tu peux être brave et jamais imprudent, Si tu sais être bon, si tu sais être sage, Sans être moral ni pédant ;

Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite Et recevoir ces deux menteurs d’un même front, Si tu peux conserver ton courage et ta tête Quand tous les autres les perdront,

Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire Seront à tout jamais tes esclaves soumis, Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire Tu seras un homme, mon fils.”

If de Rudyard Kipling, une introduction au stoïcisme :

Pour saisir les subtilités du poème original, j’ai fait une nouvelle traduction, plus littérale, et une analyse de chaque concept qui en révèle les profondeurs stoïciennes.

“Si tu peux garder la tête froide quand tout le monde autour de toi Perd la sienne et t’en accuse, Si tu peux te faire confiance quand tous doutent de toi, Mais aussi savoir en tenir compte cependant.”

Ces premiers vers nous introduisent à l'autosuffisance et la maîtrise de soi : se suffire à soi même, être maître de son caractère et de ses émotions. C'est la confiance du Stoïcien en son propre jugement, à s'en tenir à ses principes. Même face à une pression écrasante. Tout en restant ouvert à la critique constructive.

“Si tu peux attendre sans être fatigué d’attendre, Ou être calomnié sans céder au mensonge, Ou être détesté sans sombrer dans la haine, Et pourtant sans fanfaronner ni donner de leçons.”

Ces vers illustrent l'importance de la patience, l'indifférence aux choses extérieures et le refus d'être compromis par les vices d'autrui. Ne pas fanfaronner, c'est éviter la vanité, un obstacle à la vraie vertu. Elle est intrinsèque et ne nécessite pas de validation externe ou de démonstration égocentrique.

“Si tu peux rêver et ne pas faire des reves ton maître, si tu peux penser et ne pas faire de tes pensées ton but,”

Kipling et les stoïciens soulignent le danger de l'excès, même dans les domaines de l'imagination créative et du raisonnement logique. Pousser toute qualité mentale à l'extrême la transforme en vice. Kipling et les stoïciens ont reconnu ces vices pour ce qu'ils sont : une brèche qui nous éloigne des obligations morales vitales de l'ici et du maintenant. Il nous faut donc modération et discipline.

“Si tu peux rencontrer le triomphe et le désastre Et traiter ces deux imposteurs en toute égalité,”

Pour les stoïciens, les événements extérieurs ne sont pas bons ou mauvais en soi. Au contraire, ils sont moralement neutres, ou “indifférents”. Les événements sont des imposteurs parce qu’ils ne sont pas ce qu’ils paraissent. Ce ne sont que des phases de la vie qui ne définissent pas sa valeur intrinsèque.

En effet, on ne mesure pas la valeur d'une vie aux victoires ou aux défaites, mais plutôt à la façon de mener son existence. En répondant correctement à toute situation, le bien peut être extrait du malheur, et à l'inverse, nous pouvons ruiner presque toute bonne chose en y répondant mal.

“Si tu peux supporter d’entendre ta vérité Déformée par des fripons pour tromper des imbéciles Ou voyant détruit l’ouvrage de ta vie, Prendre tes vieux outils pour te remettre au travail,”

Qu'importe que la vérité soit déformée ou l'œuvre de sa vie détruite. Les événements extérieurs sont neutres comme nous l'avons vu. Le stoïcien se concentre sur ce qui est à sa portée : bien vivre et dire la vérité du mieux qu'il peut. Il ne réussira pas toujours, mais en se concentrant sur cet objectif, il peut faire des pas concrets vers ces idéaux.

“Si tu peux faire un tas de toutes tes possessions Et les risquer sur un seul coup de dé, Et perdre, et recommencer de zero, Et ne jamais souffler un mot de ta perte,”

C'est la liberté face à l'attachement matériel, et une grande force de caractère. Perdre sans se lamenter, et recommencer, c'est l'essence de l'autonomie intérieure. Plutôt que de se morfondre, le stoïcien se tourne vers ce qui est à sa portée : sa réponse à la situation et sa capacité à agir pour se relever.

“Si tu peux obliger ta force, ton cœur et ton courage A te servir longtemps apres leur départ, Et ainsi persévérer quand il n’y a plus rien d’autre Que ta volonté qui te dit “Tiens bon !”,”

C'est la maîtrise de l'esprit sur le corps, la volonté de faire son devoir même face à l'épuisement. C'est la volonté qui doit être le moteur, non les sensations physiques. Les stoïciens se préparent à ce niveau de persévérance et de volonté quasi surhumain, car ils savent que la vie l'exige parfois.

“Si tu peux parler aux foules et garder ta vertu, Ou vivre auprès des rois en gardant les pieds sur terre,”

C'est la preuve d'une grande maîtrise de soi, d'intégrité et d'indépendance d'esprit. Le Stoïcien juge les gens sur le caractère, la décence et les actions, non sur le statut ou les apparences.

Comme le franc maçon qui est “ami du riche et du pauvre s'ils sont vertueux.”

“Si ni les ennemis ni les amis ne peuvent te blesser, Si tout le monde compte pour toi, mais aucun ne compte trop”

Pour le stoïcien, seules nos propres actions vicieuses peuvent nous blesser. Nos ennemis et nos amis ne peuvent atteindre notre essence. Et s'il faut aimer tout le monde, il faut aussi un juste milieu dans l'amour et l'attachement.

“Si tu peux remplir chaque minute impitoyable Avec soixante secondes de vie parcourue,”

C'est une injonction à vivre sa vie pleinement. Pour le stoïcien, se rappeler qu’il est mortel le conduit à l’humilité de ses choix de vie, sans pour autant manquer d’ambition.

“A toi est la terre et tout ce qu’elle contient Et mieux encore, tu seras un homme, mon fils.”

Si Kipling s'adresse ici spécifiquement à son fils, l'idéal qu'il dépeint est universel. “Homme” représente ici la personne accomplie, celle qui a forgé sa force de caractère.

Kipling ne se contente pas de nous inspirer, il nous engage résolument au travail pour notre progrès moral et spirituel. En embrassant ces principes stoïciens, déguisés en conseils paternels, nous nous approchons de l'être humain idéal : celui qui, quelles que soient les circonstances, est capable de “tenir sa tête”, de vivre avec intégrité, de servir l'humanité et, finalement, de posséder “la Terre et tout ce qui s'y trouve”, car il se possède lui-même.

Je vais maintenant détailler quelques concepts fondamentaux du stoïcisme, qui ont été introduits par le poème.

  1. La Dichotomie de Contrôle est la base qui permet de comprendre où se situe notre pouvoir.

  2. L'Autosuffisance est le résultat direct de l'application de cette dichotomie, nous rendant maîtres de nous-mêmes.

  3. Le Memento Mori vient insuffler l'urgence à agir dans cette sphère de contrôle et d'autosuffisance.

  4. Enfin, l'Impératif d'Action est la concrétisation de tout cela, la mise en pratique indispensable de ces principes pour vivre une vie vertueuse.

Dichotomie de contrôle : la cartographie de notre pouvoir d'agir

Au cœur de la pensée stoïcienne se trouve un principe fondamental : la distinction lucide entre ce qui est à notre portée et ce qui ne l'est pas. Il s'agit de tracer une carte précise de notre pouvoir d'agir. Cette cartographie clarifie deux territoires. Le premier, le seul sur lequel nous avons une souveraineté totale, est notre monde intérieur. Il contient nos jugements, c'est-à-dire l'interprétation que nous faisons des événements ; nos intentions et nos impulsions à agir ; et notre assentiment, ce choix délibéré d'adhérer ou non à une pensée ou à une impression. C'est le domaine de notre volonté. Le second territoire est tout le reste : notre corps, notre santé, notre réputation, les actions des autres, les événements politiques, le résultat final de nos projets. Sur ce territoire, nous pouvons avoir une influence, mais jamais une emprise. Tenter d'y imposer notre volonté de la même manière que nous la maîtrisons en nous est une erreur de navigation fondamentale. L'objectif de cette distinction est l'économie de notre énergie vitale. Chaque minute passée à s'angoisser pour un résultat qui ne nous appartient pas, chaque once de colère dépensée contre un événement négatif, chaque instant de frustration face à l'incompréhension d'autrui est une force gaspillée. C'est une énergie qui aurait pu être investie dans le seul domaine qui compte : la qualité de nos propres choix et la justesse de nos actions.

En concentrant notre énergie uniquement sur nos jugements, nos intentions et nos actions, nous cessons de la dissiper contre les forces extérieures. C'est le premier pas, et le plus essentiel, vers la liberté. Non pas la liberté d'obtenir ce que l'on veut du monde, mais la liberté intérieure de ne pas être brisé par lui. C'est la liberté de maintenir sa sérénité et sa capacité d'agir avec raison, quelles que soient les circonstances. L'impératif du stoïcisme, fonder son bonheur sur ce que l’on peut toucher.

En définissant la source de notre bien-être, la dichotomie de contrôle nous mène directement à l'autosuffisance.

L'Autosuffisance : La Forteresse Imprenable de l'âme

La quête d'une vie vertueuse, qu'elle soit guidée par les préceptes de Kipling, les enseignements du stoïcisme ou le cheminement maçonnique, passe nécessairement par l'édification d'une forteresse intérieure : celle de l'autosuffisance. Se suffire à soi-même ne signifie nullement s'isoler du monde ou rejeter l'aide d'autrui. Il s'agit plutôt de cultiver une autonomie de l'esprit et du cœur qui nous rendent invulnérables aux aléas extérieurs et aux opinions changeantes d'autrui. C'est la capacité à maintenir notre équilibre et notre intégrité, quelles que soient les circonstances, et ce, indépendamment des éloges ou des critiques que nous recevons. Face à la panique, au blâme, ou au doute généralisé, le stoïcien s'appuie sur ses propres ressources morales et intellectuelles. Il ne se laisse pas emporter par les émotions collectives, ni par le jugement inconstant de la foule. Cette force intérieure est la quintessence de la sagesse stoïcienne. Avec la dichotomie de contrôle, la seule chose qui soit véritablement à notre portée, et donc la seule chose sur laquelle nous devons fonder notre bonheur, c'est nous-même !

Cette capacité à rester inébranlable face aux critiques extérieures, qu'elles soient amicales ou hostiles, repose sur un un amour de soi sain et juste. Il ne s'agit pas d'un égoïsme narcissique, mais de l'estime et du respect de sa propre intégrité, de sa dignité et de sa valeur en tant qu'être vertueux. S'aimer soi-même de cette manière, c'est reconnaître que la seule personne que l'on ne peut pas fuir est soi-même, et que la seule opinion qui compte in fine est celle que l'on se porte par rapport à ses propres principes. C'est cette autonomie de jugement et cette estime de soi vertueuse qui nous permettent d'interagir avec le monde sans être ballottés par ses caprices, et de maintenir notre cap même quand les vents sont contraires.

En Franc-Maçonnerie, cette quête de l'autosuffisance se matérialise dans le travail sur la Pierre Brute. Chaque Maçon est invité à se connaître, à identifier ses aspérités, ses faiblesses, et à les polir par un effort constant et personnel. Ce travail de construction intérieure vise à rendre l'individu plus solide, moins dépendant des validations extérieures, et imperméable aux coups du sort. C'est en devenant “maître” de lui-même qu'il peut ensuite, de manière désintéressée, contribuer à l'édification du Temple, en offrant non pas sa dépendance, mais sa force et sa lumière propre. L'autosuffisance n'est donc pas une fin en soi, mais un moyen d'atteindre la liberté et le bonheur intérieur, et de servir le monde avec intégrité et sérénité. C'est la base sur laquelle repose toute construction vertueuse.

L'autosuffisance nous rend maître de nous-mêmes ; le Memento Mori nous rappelle l'urgence de vivre pleinement cette maîtrise.

Memento Mori : La conscience de l'éphémère comme moteur

Les vers de Kipling, invitant à vivre “chaque minute impitoyable avec soixante secondes de vie parcourue”, résonnent avec le principe stoïcien du Memento Mori : “souviens-toi que tu dois mourir”. Pour les Stoïciens, cette réflexion n'était pas morbide. Elle souligne la brièveté de l'existence et la nécessité d'embrasser chaque moment. Car il est toujours plus tard que l'on ne pense.

Cependant, cette perspective comporte le risque d'un suprémacisme du plaisir menant à une vision à court terme, voire au nihilisme. Pour mieux le comprendre, le Memento Mori peut être complété par le Memento Vivere : “souviens-toi que tu dois mourir, souviens-toi que tu dois vivre”. Parce qu’il est probable que nous ne mourrons pas demain, d'où la nécessité de maintenir nos engagements et responsabilités à long terme. La conscience de notre mortalité doit inciter à vivre pleinement le présent. Si demain était votre dernier jour sur Terre, comment voudriez-vous le vivre ?

(Légère pause dramatique pour faire réfléchir le public)

Adopter cette perspective au quotidien n'est pas une incitation au désespoir, mais un principe actif pour maximiser la qualité de notre existence.

D'une part, cela clarifie nos priorités. Les préoccupations triviales s'estompent face à l'inéluctabilité de la mort. Nous nous concentrons sur ce qui a une réelle valeur : nos relations, nos passions, nos principes. Cela nous pousse à agir en accord avec notre moi profond, sans reporter.

D'autre part, cela intensifie l'expérience du présent. L'attention n'est plus détournée par les regrets ou les anxiétés. Ainsi, tous les endroits deviennent le centre de l'univers, et chaque moment est le plus important. Enfin, c'est un puissant levier pour l'action et l'intégrité. Face à la probabilité de la mort, souhaitons-nous laisser des choses inachevées ou des mots inexprimés ? Ce cadre encourage à prendre des risques, à poursuivre des rêves, à pardonner et à vivre de manière authentique. Pour un stoïcien, c'est encore une opportunité d'agir avec vertu, indépendamment des circonstances extérieures. En somme, ce n'est pas une morbidité, mais une stratégie pour une vie plus riche, intentionnelle et alignée avec nos valeurs.

Il nous appartient de faire en sorte que le jour où la mort nous trouvera soit un jour dont nous puissions être fiers.

La conscience de notre mortalité ne prend tout son sens que dans l'impératif de l'action.

L'impératif de l'action : Au-delà de la Pensée et du Discours

Nous avons exploré les exigences de Kipling et les principes stoïciens qui nous invitent à la maîtrise de soi, à la sagesse et à la vertu. Mais il est crucial de rappeler que toutes ces réflexions, ces méditations et ces connaissances ne trouvent leur véritable sens que dans l'action. Pour les Stoïciens, la sagesse n'est pas une simple contemplation intellectuelle ou une accumulation de savoirs théoriques : elle est avant tout une pratique quotidienne. Nos intentions les plus pures, nos pensées les plus nobles ne suffisent pas ! Qui que l'on soit au fond de nous, nous ne sommes jugés que d'après nos actes. C'est notre comportement, nos réponses aux défis, la manière dont nous agissons dans le monde qui témoigne de notre vertu. Le bonheur stoïcien n'est pas un état passif, mais le résultat d'un travail volontaire sur soi, manifesté par des actions justes et une maîtrise de nos réactions. Comme l'a si bien formulé l'empereur stoïcien Marc Aurèle : “Ne perds plus de temps à discuter de ce que doit être un homme de bien. Sois-en un.”

En Franc-Maçonnerie, cette primauté de l'action est tout aussi fondamentale. Les outils symboliques dont nous nous servons en Loge ne sont pas de simples ornements, ils sont les emblèmes d'un travail concret et continu sur soi. Ce n'est pas ce que nous disons être, mais ce que nous faisons qui définit le Maçon. La mise en œuvre des principes appris en Loge dans notre vie quotidienne donne sens à notre engagement. Nos serments, nos symboles, nos rituels nous guident, mais c'est par nos actions que nous prouvons notre adhésion aux valeurs de notre Ordre et que nous contribuons véritablement à la construction du Temple.

C'est ici que prend tout son sens la notion de “propagande par l'exemple”. Il ne s'agit pas pour le Maçon de proclamer haut et fort ses vertus ou d'imposer ses idées par la force du discours. Il s'agit plutôt d'incarner, dans sa vie quotidienne, les principes qu'il médite en Loge. C'est par la qualité de ses actions, la sérénité de son jugement et la noblesse de son caractère que le Maçon inspire. Non par un discours doctrinaire, mais par la lumière de son propre perfectionnement qui rejaillit sur son entourage. C'est en étant lui-même une preuve vivante des idéaux maçonniques qu'il participe concrètement à l'amélioration de l'humanité.

Conclusion

L'homme décrit par Kipling est un homme d'action, capable de “se remettre au travail” après la destruction de son œuvre, de “risquer” ses possessions, et de “persévérer” même quand il n'y a plus rien que sa volonté. Il incarne l'idée que la vertu n'est pas une passivité sereine, mais une mise en pratique constante. Au-delà de nos pensées et de nos intentions les plus secrètes, c'est ce que nous manifestons dans le monde qui nous définit véritablement. La quête de la sagesse est donc avant tout une invitation à comprendre la dichotomie de contrôle, l'autosuffisance, le Memento Mori et l'impératif de l'action. Une action juste, vertueuse et continue.

Vénérable maître, j'ai dit.

 
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from jens

Sermone in occasione della giornata mondiale del rifugiato

Letture bibliche: Genesi 21:8-21 e Matteo 10, 24-39

Lettore: Ascoltate le parole di Claudette, una rifugiata ruandese: «Non dimenticherò mai il giorno del 12 aprile 1994, quando una granata colpì la mia casa a Kigali, in Ruanda, e quella fu la fine della vita come la conoscevo. All'epoca avevo sette anni e la mia famiglia fu costretta a disperdersi. Mia madre voleva assicurarsi che restassimo uniti come famiglia, quindi cercò ciascuno dei suoi figli per diversi giorni. Ad eccezione di una sorella, riuscì a trovarci tutti».

Care sorelle, cari fratelli,

Sono parole così concrete, così prive di sensazionalismo. Claudette aveva sette anni quando la sua casa fu bombardata – nessuna descrizione della paura o del caos. Sua madre trovò tutti i suoi figli tranne uno – nessuna parola di dolore per la perdita della sorella.

È straziante nella semplicità del racconto... nel modo in cui la tragedia viene semplicemente accettata.

In verità ci sono oltre 122 milioni di storie simili nel nostro mondo in questo momento, metà delle quali riguardano bambini.

È una realtà devastante... ma perché ne parliamo in chiesa?

Beh, per prima cosa, oggi è la Domenica mondiale dei rifugiati. È la domenica che segue il 20 giugno, Giornata mondiale dei rifugiati. La domenica in cui molte chiese e organizzazioni cristiane hanno riconosciuto l'importanza di parlare, come chiesa di Cristo, della dolorosa realtà dei rifugiati.

La Domenica dei rifugiati è rilevante per il nostro culto perché la nostra fede è rilevante per ciò che sta accadendo nel nostro mondo. E nel nostro mondo c'è una crisi dei rifugiati. Attualmente ci sono più persone sfollate a causa della guerra, della violenza e della persecuzione che in qualsiasi altro momento della storia documentata.

Ma questo non significa che il trauma vissuto dai rifugiati sia una crisi nuova e moderna. Infatti, il secondo motivo per parlare dei rifugiati in chiesa oggi è che la nostra prima lettura è, in realtà, la storia di due rifugiati: Agar e Ismaele.

È una storia difficile da predicare, perché è una storia problematica. Presenta diversi tipi di sfruttamento disumanizzante, senza molti commenti redentori:

• La schiavitù umana, per esempio;
• Il che non lascia dubbi sul fatto che Agar avesse alcuna scelta nel dare alla luce il figlio di Abramo;
• Questo prima ancora di arrivare alla profonda ingiustizia di Sara che condanna Agar e Ismaele a morte, per il semplice crimine della loro esistenza.
• E il fatto che sia Abramo, sia apparentemente anche DIO, approvano questo esilio ingiusto: la perdita della casa, dei mezzi di sussistenza e di ogni fonte di sicurezza (per quanto fossero sfruttatori).
• E, come se non bastasse, gli altri protagonisti di questo dramma si rifiutano persino di chiamare Agar con il suo nome, chiamandola invece “la schiava”, negandole essenzialmente la sua umanità individuale.

In questa storia, il padre e la madre del popolo eletto da Dio, che in precedenza avevano costretto la loro schiava a dare alla luce un figlio, decidono che questo non fa al caso loro, quindi la classificano come una non-persona verso la quale non hanno alcun obbligo e la cacciano via, mandando lei e suo figlio nel deserto con risorse del tutto inadeguate per sopravvivere. Agar e Ismaele sono rifugiati indifesi, costretti a lasciare la loro casa, trattati con totale disprezzo. È una storia brutta.

Ma è anche una storia che ci mostra il cuore di Dio per i rifugiati: un cuore che vuole sia salvare che confortare.

Il salvataggio è molto pratico, ed è importante riconoscerlo. Agar e Ismaele stanno morendo di sete e Dio mostra loro una fonte d'acqua rigenerante. Hanno un bisogno fisico disperato e Dio soddisfa quel bisogno.

Dio conforta anche, e questo è un altro punto fondamentale della storia, che la donna che era stata disumanizzata come “la schiava”, Dio la chiama per nome. Alla piccola famiglia che era stata cacciata per morire, Dio promette di farla diventare una grande nazione. Anche il nome Ismaele afferma il valore di questo bambino rifiutato ed esiliato; Ismaele significa “Dio ha ascoltato”.

Dio ha ascoltato, protetto e consolato coloro che il “popolo eletto di Dio” aveva trattato con disprezzo e crudeltà insensibile. Dio si è preso cura dei rifugiati, anche se erano al di fuori del popolo eletto.

Tuttavia, sono consapevole del pericolo insito nel riportare alla ribalta questa storia in relazione all'attuale crisi dei rifugiati. Coloro che vogliono evitare qualsiasi obbligo di risposta potrebbero scegliere di attribuire tale obbligo a Dio:

“Dio ha già agito miracolosamente in passato per salvare i rifugiati. Lasciamo che lo faccia di nuovo. Possiamo pregare affinché Dio intervenga, ma non è nostra responsabilità aiutare persone che si trovano dall'altra parte del mondo?”

Questa reazione non nasce sempre da un'indifferenza insensibile. A volte riflette il senso di impotenza che deriva dal ciclo di notizie 24 ore su 24 intriso di tragedie. Il mondo è a portata di mano, ma è così profondamente distrutto che sembra inutile cercare di apportare qualsiasi cambiamento. Cosa possiamo fare per oltre 122 milioni di sfollati?

E, cosa ancora più importante, potrebbero rappresentare una minaccia per noi. Una minaccia al nostro stile di vita, alla nostra economia o alle nostre stesse vite. Sicuramente Dio non ci chiede di metterci in pericolo...

In realtà, è proprio questo che Dio ci chiede.

«Chi non prende la sua croce e non viene dietro a me, non è degno di me. Chi avrà trovato la sua vita la perderà; e chi avrà perduto la sua vita per causa mia, la troverà.» (Matteo 10,38-39).

Il messaggio del Vangelo, dalle labbra di Gesù, proibisce il nostro istinto di autoprotezione. «I discepoli non sono superiori al maestro» (Matteo 10,24)... e il nostro maestro è andato nella tomba per salvarci.

E il regno di pace definitivo di Dio non verrà senza la metaforica spada della divisione (Matteo 10,34)... e senza respingere le voci che negano il comando radicale di Cristo di amare il prossimo come noi stessi e di riconoscere che non ci sono limiti a chi dobbiamo abbracciare come prossimo.

Questo discorso sulla perdita della nostra vita, sulla spada della divisione e sulla pratica dell'amore senza limiti pratici fa paura. Lo so. Mi spaventa pensare di perdere anche solo una delle cose che amo della mia vita, figuriamoci tutta la mia vita. Non è un insegnamento facile.

Ma c'è anche un messaggio evangelico qui:

Un commentatore ha scritto su questo passo di Matteo:

“Morire a se stessi e perdere la propria vita ci porta oltre le ansie del momento per riposare al sicuro in Dio. Ciò che muore sono le abitudini dell'individualismo, dell'avidità e dell'interesse personale... Ciò che nasce è la compassione e la libertà”.

Gesù ci chiama a una vita veramente nuova. Una vita che NON è controllata dalla paura. C'è una frase che appare sia nella storia della Genesi che nell'insegnamento di Matteo: «Non abbiate paura». Ciò non sorprende, considerando quanto spesso questo comando appare nella Bibbia. Infatti, è il comando più frequente dalla bocca di Gesù.

Sentiamo questo comando in continuazione perché è così difficile obbedire... Ma questa assenza di paura è la chiave della nuova vita. Perché non temere significa avere fiducia in Dio. Significa avere fede. Significa lasciare andare ogni senso di diritto a una vita senza lotte e trovare la libertà di vivere come Dio ci chiama, indipendentemente dalle conseguenze.

Nella nostra liturgia di apertura abbiamo confessato che l'amore costante di Dio dura per sempre. Se ci crediamo davvero, allora siamo liber* di raggiungere le persone bisognose perché non dobbiamo temere.

Non dobbiamo temere ciò che potremmo perdere quando doniamo le nostre risorse per provvedere ai bisogni pratici e fisici di chi ha perso tutto.

Non dobbiamo temere la perdita del nostro status di privilegiati quando affermiamo l'uguale valore umano di persone che sono state svalutate dal potere.

Non dobbiamo temere nemmeno la perdita delle nostre vite se qualcuno entra nel nostro Paese e ci vuole male.

Non dobbiamo temere.

Non posso promettervi che fare tutto ciò che è in nostro potere per accogliere i rifugiati non avrà conseguenze nella nostra vita. Ma sono sicuro che vivere senza paura sarà una fonte di vita – per noi e per gli altri.

Concludo:

Claudette, la ragazza con cui ho esordito, è un esempio per noi a questo proposito. Ha trascorso 12 anni come rifugiata sfollata prima che lei e la sua famiglia venissero finalmente reinsediate nel Rhode Island, grazie al lavoro del Lutheran Immigrant and Refugee Services.

Ora sta frequentando l'università e contemporaneamente ha fondato e lavora per un programma di doposcuola senza scopo di lucro per altri bambini rifugiati, per aiutarli ad avere successo a scuola.

Per vedere cosa possiamo fare noi, ecco oggi abbiamo un ospite della CSD, che ci racconterà delle sue esperienze, Marta Pacor.

E se volete sostenere la vita dei rifugiati e chiedere a Dio di avere il coraggio di rispondere alla loro situazione, vi incoraggio a pregare il nostro Dio, il cui amore costante dura per sempre.

Preghiamo: Dio che ascolti ogni lamento nel deserto e ogni preghiera nella tempesta, ascolta le grida di ogni portatore della tua immagine sfollato a causa della guerra, della violenza e della persecuzione.

Accompagnali nei loro viaggi, fornisci loro cibo, acqua, riparo e medicine e portali in un luogo di sicurezza e accoglienza.

Stimola i cuori dei tuoi figli, compreso il mio, che gode di sicurezza e abbondanza, a raggiungere con cura i rifugiati vicini e lontani. Aiutaci a riconoscere le nostre benedizioni come risorse che ci hai dato per benedire gli altri, e non come beni da accaparrare o proteggere.

trasforma coloro che esercitano la violenza e l'oppressione, affinché usino il loro potere per guarire e risanare, anziché per dividere e distruggere. Che la Tua giustizia regni in tutta la terra e che tutti i popoli della terra riflettano la Tua gloria. La gloria che conosciamo attraverso l'amore di Gesù Cristo, per il quale preghiamo.

 
Continua...

from disattualizzando

Il Mondo è cambiato o siamo solo noi ad essere cambiati? Siamo noi a tentare in ogni modo di essere diversi da ciò che eravamo una volta?

In questo capitolo affronterò l’argomento dell’Antropocene da un punto di vista diverso rispetto a quello scientifico trattato in precedenza, concentrandomi su un aspetto umano e intellettuale. Da un punto di vista teorico, il Mondo per noi è sempre rimasto uguale e continuerà a sembrarlo, con un limitato margine di cambiamento per la durata delle nostre vite, quelle dei nostri nipoti e dei nostri pronipoti. Avremo sempre lo stesso cielo, le stesse stelle stelle, la stessa Terra. Nonostante le vicende storiche, sociali e culturali degli ultimi secoli, secondo il concetto fenomenico, il Mondo dovrebbe essere rimasto identico. Siamo noi che abbiamo un bisogno tipicamente umano di voler percepire ogni epoca come diversa, a volerci sentire differenti, modificando il contesto naturale per adeguarlo a noi.

I genitori dei nostri genitori possono sostenere con forza e sicurezza di aver vissuto dei tempi realmente diversi sotto molti aspetti, come dimostra la difficoltà che spesso incontrano nell’approcciarsi a tecnologie recenti come smartphone e computer. E’ stata la rivoluzione comportamentale portata da queste tecnologie che ha contribuito a renderci molto diversi. Prima di questa rivoluzione, i tempi sembravano scorrere più lentamente e somigliarsi di più tra loro. La nostra contemporaneità, invece, è bizzarra, complessa, e a tratti alienante.

Per noi è facile e scontato convivere con queste grandi comodità, siamo genericamente più sedentari, ci dedichiamo quotidianamente ad attività tanto urgenti quanto superflue, che però sentiamo il bisogno di soddisfare. Chi dei lettori, me compreso, non ha delle missioni giornaliere da svolgere?

Investiamo una parte importante del nostro tempo ed energie su azioni di poco conto, sottraendone a ciò che meriterebbe davvero la nostra attenzione. In passato, chiunque si dedicasse ad una disciplina la viveva come una vocazione, non era distratto quotidianamente da attività dettate da un’applicazione. La nostra mente è stata condizionata per ritenere priorità cose che hanno davvero poco rilievo, ciò ci rende costantemente distraibili. Anche i nostri genitori, a differenza dei nonni, sono stati facilmente convertiti alla “fede delle tecnologie inutili”. Con amarezza, sostengo che spesso ne sono dipendenti quanto i giovani.

Tutto questo mi porta a una riflessione: Anche se dal punto di vista naturale e fenomenico il mondo non è cambiato, è bastato un accessorio, per quanto eccezionale, a stravolgere le nostre abitudini in pochissimo tempo. Viviamo in uno sputo di tempo, velocissimo e pericoloso, come il colpo di un proiettile. Tecnologia, scienza e progresso non hanno cambiato il mondo in sé, ma la nostra percezione del mondo. Abbiamo ancora bisogno delle stesse cose, ma oggi facciamo fatica a riconoscerle. Bisognerebbe rivedere il valore delle nostre azioni quotidiane, dei nostri pensieri.

Le strane priorità e abitudini che ora ci appartengono tendono ad allontanarci da un sentimento naturale e primordiale. La natura, oggi, è solo una risorsa da sfruttare, ci avviciniamo ad essa per deturparla, sfruttarla, e poi trasformarla in scarti e rifiuti. Ogni elemento naturale viene piegato alle nostre comodità per servirci a senso unico, per soddisfare i nostri vizi e desideri, colmare le nostre comodità, incrementando un sistema che ai tempi dei nostri nonni sarebbe stato inconcepibile. Cent’anni fa, l’essere umano era rispettoso della natura, la sua sopravvivenza dipendeva da essa. Oggi, con l’avanzata dell’industria globale, ci illudiamo di esserne padroni, ci consideriamo l’apice del sistema che abbiamo creato, la priorità assoluta, e pieghiamo al nostro volere tutto ciò che ci circonda. Abitudinariamente incrementiamo un’esistenza innaturale, disumana. E lo facciamo senza sacrificare nulla: né tempo, né risorse, né denaro. Siamo convinti di aver raggiunto la vetta, e che le conseguenze delle nostre egoistiche azioni non ci raggiungeranno mai. Ignoriamo che rappresentiamo un grave problema verso il Mondo e di conseguenza verso noi stessi.

Siamo diventati una specie egocentrica, abbiamo la presunzione che tutto ciò che può essere fatto debba essere fatto: ne abbiamo il diritto, anche se potrebbe essere dannosa e rischiosa. Così, involontariamente, distruggiamo ecosistemi e adattiamo la natura alle nostre esigenze, con effetti spesso irreversibili, Dall’alto della nostra intelligenza siamo diventati la specie animale più autodistruttiva, continuando imperterriti ed indifferenti a comportarci in modo deleterio, ignorando i segnali del disastro. Dall’alto della nostra intelligenza, dovremmo riconoscere le conseguenze delle nostre azioni.

 
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from norise

PARVENZA D'AMORE . pietre ancora calde di sole con la luce declinante una virgola di amore ti è rimasta negli occhi – un sangue rappreso .. come un olio è passata la luce sopra il dolore – pseudo- incarnazione di un sogno .

Giordano Genghini Apprezzamento n. 21 (in ordine cronologico) del giorno 20. 06. 2025. – Ho apprezzato moltissimo, Felice, questo tuo post (consistente in una lirica stupenda). Oltre ad altri aspetti del post, ho gustato soprattutto il modo in cui hai trasformato in poesia il tuo sogno, che ha per protagonista la donna che da sempre ami. (Aggiungo, inoltre, che, avendo tu il dono della fede, la tua sofferenza per la separazione da lei è addolcita dalla certezza di rivederla oltre questa vita terrena, e che sai esprimere ciò che provi in modo così sublime da fare amare i tuoi testi – come riescono a fare, ad esempio, Dante o Ungaretti e Eliot dopo la loro conversione – anche a chi questa tua fede non ha).

 
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from disattualizzando

Con questo capitolo la mia prima intenzione è esporre e divulgare teorie e concetti estrapolati da ricerche in internet, riferiti ad uno degli argomenti più importanti e più sottostimati della nostra contemporaneità. Mi riferisco a scienziati, geologi e ricercatori con i quali condivido visioni e teorie, che mi hanno portato a formulare un pensiero personale, cercando di non cadere nei semplicismi e nelle ovvietà. Promuovo l’idea che queste persone mettano il cuore e l’anima nei i propri studi, combattendo una battaglia che riguarda ognuno di noi, a prescindere dal nostro interesse personale verso gli argomenti trattati. Questi saggi studiosi e sapienti dottori, dovrebbero essere ascoltati di più dalle grandi masse, e le loro informazioni andrebbero diffuse nella maniera più efficiente possibile. Molte delle osservazioni che ho annotato fino ad ora avrebbero una soluzione pratica ed effettiva, capace di cambiare il mondo, o almeno di provarci. L'alternativa a “almeno ci provo” è “lasciarlo così com'è”, lasciarlo quindi alla deriva, consapevoli del probabile risultato finale. Sarebbe una scelta coerente per chi decide di disimpegnarsi sulla questione Natura, ignorando però quanto essa sia fondamentale per la preservazione della nostra esistenza. In queste pagine espongo il mio modo di agire, fino ad ora prevalentemente teorico. Esprimo un punto di vista nato dalla mia percezione delle cose e dal tentativo di cambiare ciò che mi circonda. Come ho scritto negli altri capitoli, sono fermamente convinto che chiunque voglia cambiare il mondo abbia il diritto di nascita di farlo. A volte, se si ha a cuore il nostro futuro e quello delle prossime generazioni, si ha il dovere di provarci.

Il termine “Antropocene” suscita in me un grande timore. Un timore che nasce dalla sua stessa definizione di catastrofe, possibilmente raggiungibile nel corso dei prossimi, e non molto numerosi, decenni. Questo è il risultato da cui dobbiamo sottrarci in ogni modo. Si tratta di un destino che si manifesta percettibilmente giorno dopo giorno: per ora è evitabile, ma presto potrebbe non esserlo più. Con Antropocene si intende l'epoca geologica contemporanea, caratterizzata dall'influenza negativa dell'essere umano sul pianeta. L'effetto della nostra esagerata presenza è la causa di un cambiamento strutturale del clima planetario, che incide sui processi sottili di equilibrio terrestri, condizionati da un'evoluzione durata milioni di anni. L’Antropocene è la prova inconfutabile che l’uomo è nocivo per se stesso e per il resto degli ecosistemi mondiali.

Il nostro pianeta ha raggiunto un equilibrio grazie a fattori ambientali come i ghiacciai, gli oceani e l'atmosfera. Quest'ultima, la più vulnerabile, è anche quella più danneggiata dalle nostre azioni. L’atmosfera è quel sistema che, se gravemente compromesso, compromette di conseguenza ogni altro tipo di sistema esistente. E’ il primo fattore ambientale che ha permesso alla Terra di ospitare la vita così come la conosciamo. Lo studio del clima ci ha rivelato che, da migliaia di anni, la Terra alterna periodi glaciali a periodi interglaciali. Noi siamo collocati verso la fine di un periodo interglaciale, un periodo caldo.

Cos’è che ha caratterizzato l’Antropocene? Gli ultimi 200 anni di Rivoluzione Industriale hanno permesso all’essere umano di evolversi tecnologicamente in una modalità senza precedenti. E’ stato l’inizio di una crescita e di un progresso scientifico senza eguali, migliorando da quasi ogni punto di vista la qualità e la facilità delle nostre vite, attribuendo all'essere umano un nuovo modo di vivere e definire la quotidianità. Allo stesso tempo, la Rivoluzione Industriale ha dato inizio a un'altra grande novità per il pianeta: la combustione di petrolio, carbone e gas, con il conseguente incremento dell'Effetto Serra, che ha progressivamente aumentato il riscaldamento globale fino ai nostri giorni. E’ stato anche l’esordio di uno smisurato prelevamento di risorse (legno, minerali, pesci, animali...) restituite al pianeta sotto forma di scarto, un prodotto di avanzo che non solo incrementa i rifiuti nell'ambiente, ma immette nell'atmosfera quantità spropositate di CO2.

Fino agli anni Settanta, si contavano nel mondo circa 3,5 miliardi di persone e, dal punto di vista di sprechi e rifiuti, si rispettava ancora un certo equilibrio naturale. Con la crescita indomabile della popolazione e la dipendenza vitale dal petrolio, ci avviciniamo sempre più al punto di non ritorno, al processo irreversibile che potrebbe caratterizzare il mondo di domani. Sappiamo che il clima mondiale è aumentato di circa un grado, soprattutto negli ultimi trent'anni. Si prevede che nei prossimi cento anni la temperatura possa salire di altri 5°C. Con un solo grado di differenza, il 50% dei ghiacciai delle Alpi è già scomparso, insieme alla sorgente del Po e a molti altri fiumi essenziali per il nostro sostentamento. In nessun altro periodo caldo interglaciale si è mai registrato un aumento di un grado. I 5°C che si raggiungerebbero rappresentano la peggiore prospettiva possibile e il più grande fallimento dell'umanità nei confronti di questo pianeta. Questi sono i sintomi di una malattia climatica di origine umana. Se nel 2100 si verificasse un aumento di 5°C, le conseguenze più catastrofiche sarebbero destinate soprattutto a noi esseri umani. La Natura, nonostante le estinzioni di massa, il disequilibrio ambientale e la distruzione di tantissimi ecosistemi unici, avrà sempre la forza di adattarsi. La Natura è resiliente.

Noi pensiamo di essere i padroni del mondo, ma non avendo la stessa forza di adattamento, saremo la specie a subire le ripercussioni più gravi,al limite dell'apocalisse. La CO2 di origine fossile immessa nell'atmosfera si è aggiunta a dismisura nell'equilibrio mondiale. In 800.000 anni, la percentuale di anidride carbonica nell'ambiente non aveva mai raggiunto livelli così alti come oggi. L'Effetto Serra è la causa principale dello scioglimento dei ghiacciai e, di conseguenza, dell'innalzamento dei mari. Questo processo sarà accompagnato da una desertificazione veloce e graduale. I numerosi test nucleari avvenuti tra gli anni Cinquanta e Sessanta hanno rappresentato un altro fattore disastroso che ha inciso profondamente sull’equilibrio climatico e ambientale, facendo da catalizzatore e accelerando ulteriormente il degrado del nostro pianeta. Ogni anno, muoiono genericamente 9 milioni di persone solo a causa dell’inquinamento.

Si dovrebbe lasciare in eredità alle generazioni future un pianeta ancora vivibile, che non sia ostile alla nostra presenza, cambiando radicalmente direzione. Come inizio, si potrebbe garantire la fine dell’inquinamento dell’aria e dell’acqua. Dovremmo eliminare la nostra esigenza di deforestazione e promuovere invece la riforestazione. Sarebbe fondamentale limitare il più possibile la cementificazione, che rende la terra sotto i nostri piedi sterile e vulnerabile agli agenti atmosferici. Bisognerebbe ridurre tempestivamente la nostra dipendenza dal petrolio e dal carbone. Dovremmo riutilizzare e riciclare risorse e rifiuti di ogni tipo, eliminando quanto più possibile lo spreco. Si potrebbe adattare ogni nostro bisogno alle energie rinnovabili ovunque esse siano accessibili, convertendo più edifici possibili all’autonomia energetica. Tutto questo non sarebbe impossibile, se esistesse una volontà mondiale, animata dal desiderio di affrontare e superare ogni ostacolo, anche quelli apparentemente insormontabili, come le resistenze di politici e multinazionali ancora legati a profitti retrogradi e involutivi.

E’ necessario rendersi conto che questo è l‘unico pianeta che abbiamo, tutto ciò che riguarda la nostra sopravvivenza dipende esclusivamente da esso. Preservare la Natura equivale a preservare noi stessi. Come ho già sostenuto, tutto ciò che siamo è ciò che la Natura ci ha permesso di essere, dovremmo provare a saldare questo debito con l’ambiente che ci circonda. Sentiamoci partecipi ed attivi quando ci rivolgiamo alla Natura.

Non dimentichiamo che l’uomo e l’ambiente non sono due cose distinte e separate. L’essere umano deve essere al servizio della Natura tanto quanto la Natura è sempre stata al nostro.

 
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from Bymarty

✍️Pensieri smarriti..

Ho letto qui qualcosa di interessante, si parlava di conoscenza, di necessità di colmare vuoti, ecc, del bisogno di ritrovare, coltivare, pensieri, empatia e di allargare orizzonti! Un po' quello che ho sempre cercato io nel reale, come qui in questa realtà dove si ha modo di conoscere, condividere, esprimere pensieri, ideologie, gente diversa, sconosciuta, da ogni parte, a volte, raramente, si fanno incontri interessanti, altre volte, come nel mio caso, spesso ci si perde, perché per natura sono diventata così, solitaria e diffidente. Sono molto empatica, emotiva e tendo spesso a mostrare queste mie insicurezze, questo mio bisogno di essere ascoltata o semplicemente essere considerata un' amica, qualcuno cui poter confidare, chiedere, chiacchierare del più e del meno. Mi faccio sempre mille problemi, è la mia indole, ma chi mi conosce, lo sa, tendo quasi a tutelarmi così, mi allontano e ci si allontana da me quasi sempre, in mille modi e con il tempo. Faccio monoghi infiniti, continuo ad essere me stessa, a coltivare, emozioni, costruire ricordi e ovviamente nel frattempo vivo la mia vita, che sia reale, virtuale, affronto, combatto, la mia malattia, questo evento straordinario e inaspettato che mi ha cambiata, mi ha inevitabilmente stravolta e portata a dei cambiamenti, ad un cammino nuovo, diverso e non sempre semplice ! A breve dovrei avere risposte, rassicurazioni e capire a che punto è questo mio cammino, se le terapie funzionano e mi stanno aiutando in questa battaglia, dove non sono sola, lo so, ma dove spesso ci si sente soli, diversi, stanchi , a volte vuoti, tristi, lontani anni luce dalla realtà, dal quotidiano, dal normale ecc. E poi c'è lei la paura, il timore, quella sensazione di non essere mai abbastanza forte, di non essere chi vorresti essere, cioè semplicemente te stessa , così, senza filtri, senza troppe domande, problemi, seppur con le tue fragilità, ma non è così, troppo spesso mi ritrovo a parlare da sola a scrivere di cose, che non trovano collocazione, interesse, dimensione o strade, sembra che io rincorra disperatamente mete irraggiungibili e strade diverse, sconnesse e solitarie..Mi sento ancora fieramente, quella pecorella nera, smarrita, ma forte a suo modo, sicura di sé e cmq , presente, seppur tra alti e bassi, nella propria vita, in quella di suo figlio, della famiglia e di coloro che mi vogliono bene, a cui voglio bene e che amo senza riserve, sempre, anche quando non dovrei ...Ecco mi manca quella connessione empatica che tanto mi aveva motivata, un po' cambiata, fatto riscoprire la voglia di scrivere, condividere, ascoltare e coltivare e così mentre sento fuori i cani abbaiare, mentre la luna mi aspetta, libero questi miei pensieri, i soliti, scontati, ma reali, veri, aspettando che in qualche modo, possa ritrovare quella connessione, quella empatia, che nutrimento sono, per il cuore, mente, anima e pensieri..

 
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from L' Officina Delle Storie

I custodi del vuoto Viviamo in un’epoca in cui la conoscenza è a portata di mano, ma mai come oggi l’ignoranza appare come una scelta. Una scelta comoda, rassicurante, talvolta perfino nobile agli occhi di chi la difende con orgoglio. I benpensanti e i perbenisti sono i guardiani di un ordine superficiale, in cui ciò che conta non è comprendere ma apparire, non sapere ma ripetere. Costoro si nutrono di certezze prefabbricate, di opinioni altrui riciclate come verità, e custodiscono con zelo un vuoto intellettuale che diventa norma, abitudine, persino identità sociale. In Italia, questa attitudine si manifesta con una forza particolare. Qui, il “sentito dire” è scienza, il pettegolezzo è informazione, l’apparenza è più importante della sostanza. Il dibattito pubblico si svolge spesso a colpi di slogan, condivisioni compulsive e indignazione programmata, mentre l’approfondimento, lo studio, il dubbio critico vengono relegati tra le stranezze di pochi. L’ignoranza non è più una condizione da colmare, ma uno scudo dietro cui ci si protegge dal fastidio del pensiero complesso. Il benpensante guarda con sospetto chi cerca di sapere di più, perché la conoscenza è sovversiva, rompe gli equilibri, smaschera le ipocrisie. Il perbenista, poi, si distingue per la sua adesione cieca a un codice di valori che spesso non comprende ma applica, convinto che basti essere conformi per essere giusti. Non importa se quel codice sia anacronistico, discriminatorio o privo di fondamento: ciò che conta è apparire corretti, moralmente allineati, socialmente accettabili. In questo meccanismo si annida la più pericolosa delle ignoranze: quella che non si riconosce come tale, che si ammanta di virtù e si fa giudice di chi osa discostarsi. Eppure, la conoscenza richiede fatica. Studiare, cercare, confrontarsi, sbagliare: tutto questo implica un investimento personale che molti rifiutano di compiere. È più facile vivere di frasi fatte, affidarsi al luogo comune, rimanere nell’alveo rassicurante delle opinioni condivise. Ma questa scelta ha un costo altissimo. Un costo culturale, prima di tutto, perché impoverisce il dibattito e rende sterile ogni discussione. Ma anche un costo umano, perché ci allontana gli uni dagli altri, ci rende sospettosi, cinici, incapaci di vera empatia. Non esiste una verità assoluta, è vero ma esiste la possibilità di avvicinarsi alla complessità del reale con onestà intellettuale, con curiosità, con umiltà. Esiste il dovere morale di informarsi, di dubitare, di non accontentarsi delle versioni preconfezionate. Esiste, infine, una forma di bellezza nell’atto di conoscere: quella che ci rende meno soli, più liberi, più umani. Contro i custodi del vuoto, non servono armi ma domande. Non servono certezze ma voglia di capire. E il coraggio, sempre più raro, di ammettere che non sappiamo tutto, ma che possiamo sempre imparare.

© Massimiliano Pesenti

 
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from Magia

Ieri qualcuno mi ha scritto una cosa che mi ha fatto riflettere! Cioè non devo pensare che in questo, o nel mondo reale, credo valga lo stesso, non c'è nessuno che apprezza il mio modo di pensare, agire, di pormi, di essere sempre così trasparente, sincera e vera con tutti! Eppure a volte ho davvero questa sensazione di vuoto, di spazi infiniti dove mi ritrovo a rincorrere me stessa, i miei pensieri, ricordi, emozioni e tentativi di comunicare, di condividere parole, immagini o attimi! Capisco che ci siano situazioni, pensieri, caratteri e pensieri divergenti, ma il più delle volte è dispendioso da parte mia tentare inutilmente di alimentare rapporti, fallimentari, univoci e a volte tossici! È così radicato in me questo bisogno di avere qualcuno con cui condividere, chiacchierare, semplicemente dirsi ciao, che spesso involontariamente o senza che me ne renda effettivamente conto, tendo ad allontanarmi, ad allontanare e rendere deboli e insicuri questi rapporti! Sicuramente è sbagliato voler a tutti i costi tenere uniti fili, che a volte invisibili, a volte fragili o danneggiati, stentano a rimanere integri...forse ho tanto ancora da imparare nel rapportarmi, devo imparare a non cercare continuamente, a non essere sempre troppo presente! A me piacerebbe solo essere utile, importante, di supporto per qualcuno, magari ricambiando quanto fatto, ricevuto, da quei pochissimi, rari e preziosi tesori che ho avuto la fortuna di ricevere e incontrare ..

 
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from Transit

(170)

(AI)

Intro. Più passano i giorni, più gli #USA e #Trump nicchiano, più le cose si ingarbugliano, più appare chiaro che l’attacco di Israele all’Iran ha solo nominalmente lo scopo di distruggere una ipotetica potenza nucleare. E’ tutt’altro. E, sicuramente, non sarà questa guerra a distruggere un regime teocratico sanguinario e opprimente. Anzi, forse riuscirà a renderlo più determinato nella sua opera di annichilimento dei diritti civili ed umani. Tutte cose che a #Netanyahu non interessano. A lui serve la poltrona e serve il sangue dei mussulmani, che si sa che a Occidente plaudono a chi si fa carico, finalmente, di queste cose (chissà le risate di Powell…).

Il recente attacco israeliano all’Iran – definito “Operation Rising Lion” – non può essere interpretato come un’operazione umanitaria finalizzata alla liberazione degli iraniani da un regime inumano, bensì come una mossa strategica di Benjamin Netanyahu per ampliare l’influenza e lo spazio geopolitico di Israele nella regione. Numerosi analisti evidenziano come l’obiettivo di Tel Aviv non sia la democratizzazione dell’Iran, ma piuttosto una forma di espansionismo politico-militare. Il “Financial Times” ha chiarito che, pur annichilendo elementi dell’apparato militare iraniano, l’azione di Israele non compromette il regime in sé, che acquisisce semmai una narrazione di resistenza e legittimità interna. In un articolo comparso su The Guardian, si sottolinea che l’offensiva “crudele ma strategica” può al contrario rafforzare l’unità nazionale iraniana e consolidare la leadership, invece di disgregarla.

Ma è l’analisi geopolitica a offrire chiavi interpretative più nette: secondo l’ISPI, l’operazione fornisce a Netanyahu strumenti politici interni ed esterni per consolidare il consenso e sfruttare la narrativa della sicurezza nazionale. In una analisi dell’Habtoor Research Centre, si legge che Tel Aviv ha orchestrato l’attenzione dei media e dei governi occidentali per ottenere sostegno diplomatico e militare, mentre la minaccia iraniana serve a distogliere l’attenzione dalle criticità domestiche.

“New Yorker” fa notare come l’attacco non sia frutto di un’escalation incontrollata: Netanyahu lo avrebbe voluto da tempo, per perseguire ambizioni ben precise, agendo appena Washington è apparsa debole o distratta. In realtà, mentre la narrazione ufficiale descrive queste operazioni come risposte a minacce imminenti – in particolare al rischio nucleare – molti commentatori ricordano come l’Iran non stesse effettivamente per ottenere la bomba, secondo agenzie internazionali quali AIEA e CIA, dando la misura del pretesto retorico usato da Tel Aviv.

(AI2)

Il rischio politico interno è lampante: fissando Netanyahu come “uomo della sicurezza”, le operazioni militari all’estero possono distogliere l’elettorato dai dossier interni e blindare la sua leadership qualora emergano scandali o critiche. Lo rivelano commentatori israeliani citati dal Guardian, che affermano come tali attacchi “frutto di un Netanyahu che capitalizza su un regime che sta perdendo legittimità e consenso”. Le prove emerse delineano un quadro nitido: l’operazione contro l’Iran non risponde all’urgente esigenza della popolazione iraniana, ma rappresenta per Netanyahu una straordinaria occasione politica di potenziamento internazionale e consolidamento interno. In gioco non vi è affatto un progetto di liberazione, bensì una manovra di influenza, territorio e consenso.

In conclusione. E se avesse delle fialette con del plutonio arricchito da scuotere, “Bibì” avrebbe finito il quadro.

#Blog #Israele #Iran #War #Medioriente #MiddleEast #Opinions #Geopolitica #Opinioni

 
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from Novità in libreria

Proseguo con le novità di maggio: stavolta è un carico veramente immenso.

NARRATIVA:

  • COME DUE FIORI DI LOTO di Jane Yang (Longanesi). Nella Cina di fine Ottocento, essere una donna non è facile: Piccolo Fiore può solo sperare in un buon matrimonio per elevare la propria condizione sociale. La morte del padre, però, mette fine a ogni speranza di riscatto e Piccolo Fiore entra a servizio in casa della sua coetanea nobile Lingjing. È l'inizio di una strana e complessa amicizia. Per saperne di più: scheda libro.
  • L'UNICO FINALE POSSIBILE di Paola Cereda (Bollati Boringhieri). Leonardo e Gioia, una coppia che abita a Pietra Alta, periferia di Torino, ospitano Momogol, un ragazzino senegalese vittima di un falso procuratore calcistico. I sogni di gloria e ricchezza svaniscono per Momo, che ora deve fare i conti con la sfida della sua vita: vivere lontano dalla sua casa e da sua madre. Per saperne di più: scheda libro.
  • L'AMORE MIO NON MUORE di Roberto Saviano (Einaudi). Il romanzo di Rossella Cassini, scomparsa il 22 febbraio 1981. Innamorata di un uomo la cui famiglia è legata a una 'ndrina di Gioia Tauro, rimane coinvolta in una faida, ma nonostante tutto rimane convinta che l'amore possa superare ogni difficoltà. Una storia vera e terribile di amore e violenza. Per saperne di più: scheda libro.
  • IL DESTINO DI PERICLE di Conn Iggulden (Piemme). Atene è all'apice della civiltà e della ricchezza, ma la minaccia di Sparta incombe. Il generale ateniese Pericle decide di approfittare di un momento favorevole e muove guerra agli eterni nemici spartani, ma a Sparta un nuovo condottiero sta per sorgere inaspettatamente. Per saperne di più: scheda libro.
  • MOCKER – DEAD INSIDE di Kira Shell (Sperling & Kupfer). Una storia d'amore piena di segreti inconfessabili, movimentate fughe, anime tormentate, a firma dell'autrice della saga bestseller KISS ME LIKE YOU LOVE ME: la timida Arleen viene rapita da un criminale che la porta in Messico per venderla a un misterioso personaggio. Quando tutto sembra perduto, viene salvata da Xavier, bello e dannato leader di una banda di ribelli... Per saperne di più: scheda libro.
  • GLI STRAORDINARI FALLIMENTI DI LEOPOLD BERRY di Ransom Riggs (Rizzoli). Dall'autore della saga di MISS PEREGRINE. LA CASA DEI RAGAZZI SPECIALI, un'altra storia surreale su un adolescente, preda di allucinazioni a Los Angeles legate a una vecchia serie tv. È interessante la confezione del libro stesso, ideata come una videocassetta degli anni '80. Per saperne di più: scheda libro.
  • L'ISOLA DELLA FELICITÀ di Davide Ferrario (Feltrinelli). Gli abitanti di una piccola isola scoprono una miniera d'oro in un deposito di guano, usato come miracoloso fertilizzante. In pochissimo tempo, la popolazione dell'isola viene investita da una ricchezza senza eguali, ma dopo 50 anni, a causa dell'esaurimento del giacimento, l'isola cade in miseria. Una storia vera, metafora del mondo contemporaneo. Per saperne di più: scheda libro.
  • ROMANZO ROSSO di Pino Corrias (SEM). Inserisco nella narrativa questo romanzo (e non nei gialli, come potrebbe far pensare la collana Tabloid di cui fa parte), perché si tratta del racconto di un'epoca: gli anni '70 a Milano. Il protagonista è un membro del Mucchio, un gruppo di Avanguardia Operaia, e vive tutte le lotte (anche armate) di una giovinezza estremista e furiosa. Per saperne di più: scheda libro.
  • LA GOVERNANTE di Csaba dalla Zorza (Marsilio). La protagonista di questo primo romanzo della nota chef televisiva Csaba dalla Zorza è una donna dalla vita apparentemente perfetta e precisamente pianificata. Tuttavia, al suo sessantesimo compleanno, decide di seguire finalmente il suo eterno sogno: lasciare tutto e affrontare sé stessa. Per saperne di più: scheda libro.
  • 2027. FUGA DALLA DEMOCRAZIA di Sergio Rizzo (Solferino). Elezioni presidenziali del 2027. In un futuro immaginario l'Italia è devastata dal cambiamento climatico e ai seggi non si presenta nessuno. Le emergenze economiche e sociali si susseguono senza sosta, ma un capitano della guardia costiera, immigrato albanese naturalizzato, compie un gesto eroico che potrebbe rovesciare le sorti di un disastro annunciato. Per saperne di più: scheda libro.
  • Ancora Solferino: SANGUE DELLE LANGHE di Marina Marazza. La saga dei Barolo delle Langhe, che prende avvio dall'incoronazione di Napoleone Bonaparte: Juliette Colbert conosce Tancredi di Barolo e, diventando Giulia di Barolo, segna il suo destino a capo di una azienda vinicola innovatrice e rinomata, fra rivoluzioni, conquiste sociali e drammi familiari. Per saperne di più: scheda libro.
  • GOODBYE HOTEL di Michael Bible (Adelphi). A Goodbye Hotel, un luogo a New York chiamato così perché è un rifugio di tutto coloro che si sono allontanati dal mondo civile, François racconta la sua storia, che parte dalla periferia americana, dove tutto è sempre uguale a sé stesso. Torna così la cittadina di Harmony, protagonista nello straziante romanzo precedente di Michael Bible, L'ULTIMA COSA BELLA SULLA FACCIA DELLA TERRA. Per saperne di più: scheda libro.
  • NIENTE DI PIÙ ILLUSORIO di Marta Pérez-Carbonell (Feltrinelli Gramma). Una storia ambientata nello scompartimento di un treno in viaggio da Londra a Edimburgo: la protagonista Alicia, giovane traduttrice spagnola, assiste con estrema curiosità a un dialogo serrato tra uno scrittore americano di successo e il suo allievo prediletto. Per saperne di più: scheda libro.

NOIR, GIALLI E THRILLER:

  • ASSASSINIO ALL'ISOLA DI SAN PIETRO di Antonio Boggio (Mondadori). Un gioielliere orologiaio viene rinvenuto morto a Carloforte, sull'Isola di San Pietro in Sardegna, ma l'idea del suicidio non è convincente per il commissario Alvise Terranova. Per saperne di più: scheda libro.
  • FUGA DALL'INFERNO di Clive Cussler e Mike Maden (Longanesi). Il capitano Juan Cabrillo, comandante della Oregon, si scontra con Pipeline, un'organizzazione pericolosissima dedita a traffici internazionali, che possiede un'arma in grado di distruggere intere città. E il conto alla rovescia è già partito... Per saperne di più: scheda libro.
  • PROGENIE di Susana Martín Gijón (Ponte alle Grazie). L'ispettrice Camino Vargas, a capo della squadra omicidi di Siviglia, deve indagare sulla morte di una giovane donna incinta, investita volontariamente da un'auto. È la prima di una serie di vittime che portano la firma di uno spietato killer. Per saperne di più: scheda libro.
  • LA BESTIA CHE CERCATE di Stefano Tofani (Guanda). In un paesino della Toscana, una maestra viene uccisa con un colpo di pistola durante la ricreazione. Era una donna dalla vita talmente perfetta e irreprensibile da sembrare irreale. Chi poteva desiderare la sua morte? Per saperne di più: scheda libro.
  • KALA di Colin Walsh (Fazi). Kala, una giovane ribelle e spregiudicata, leader di un gruppo di ragazzi, in una cittadina irlandese, scompare senza lasciare traccia all'inizio degli anni 2000. Quindici anni dopo, tre amici di quel gruppo si ritrovano e devono fronteggiare di nuovo l'incubo che li lega. Per saperne di più: scheda libro.
  • LA BELVA DI SAN GREGORIO di Marta Barrattia (Giunti). Nella Milano del 1946, in via San Gregorio si consuma un'orrenda tragedia: una donna e i suoi bambini vengono rinvenuti uccisi nel loro appartamento. Il caso di Rina Fort, raccontato e analizzato come un giallo. Per saperne di più: scheda libro.
  • LA PAZIENTE SENZA PASSATO di Leslie Wolfe (Newton Comtpon). La protagonista di questo thriller psicologico ha ricordi frammentati di quello che le è successo. I medici dicono che ha perso la memoria da molto tempo, suo marito ha una nuova ragazza, ma non riesce a capire chi le sta nascondendo la verità, dei tanti che le rivolgono parole compassionevoli. Per saperne di più: [scheda libro(https://www.newtoncompton.com/libro/la-paziente-senza-passato).

FANTASY:

  • AMORE E SCINTILLE AL BABY DRAGON CAFÈ di A.T. Qureshi (HarperCollins). Un libro che unisce il genere “caffè caldo” orientale con il fantasy: la protagonista Saphira gestisce l'unico locale in città che consente l'ingresso anche ai cuccioli di drago, notoriamente indisciplinati, caotici e involontariamente distruttivi, anche se adorabili. Un giorno fa il suo ingresso nel locale Aiden, che ha ereditato dalla morte del fratello un cucciolo di drago appena uscito dall'uovo. Solo Saphira potrà aiutarlo ad addestrare il cucciolo disobbediente. Per saperne di più: scheda libro.

SAGGISTICA:

  • STORIE ASSURDE DI CREATURE FANTASTICHE PER FAR SOGNARE GLI INSONNI di Anna Bianca Temporali (Odoya). Un “catalogo” illustrato delle creature fantastiche delle leggende e tradizioni di tutto il mondo: lo yeti, il kraken, le sirene, la fenice, i draghi, e tantissimi altri. Per saperne di più: scheda libro.
  • IL TESTAMENTO DI LENIN di Luciano Canfora (Fuori Scena). Sentendo approssimarsi la propria dipartita, Lenin scrisse una lettera al Congresso, da leggersi postuma. Era un documento che stabiliva indicazioni per la successione alla guida del partito, ma la sua ambiguità fu fonte di scontri e faide interne (che già erano iniziate tra Stalin e Trockij). Luciano Canfora, riflettendo sulla propaganda e sui meccanismi del potere, ricostruisce la storia di quel documento, che fu manipolato e stravolto da interpolazioni e traduzioni fuorvianti. Per saperne di più: scheda libro.
  • LA MUSICA PER ME di Corrado Augias (Einaudi). Un volume in cui il giornalista e scrittore, da grande appassionato di musica, racconta le storie, i personaggi e la bellezza di un'arte versatile e universale. Per saperne di più: scheda libro.
  • NEL SEGNO DI THOT di Alessandro Magrini (Ponte alle Grazie). Un saggio divulgativo sull'affascinante storia dei numeri e del loro uso, fin dall'antico Egitto, con tante curiosità e notizie insolite. Per saperne di più: scheda libro.
  • FRANCESCO GUCCINI. SIAMO QUELLO CHE NON RESTA di Claudio Sassi e Odoardo Semellini (Rizzoli Lizard). Una “specie” di biografia, per ricostruire la vita del cantautore di Pàvana attraverso le sue parole e le sue memorie. Per saperne di più: scheda libro.
  • INSTANT PERSUASION di Paolo Borzacchiello e HCE International (Gribaudo). Un manuale che usa i meccanismi delle neuroscienze come grimaldello per accedere alla persuasione. Esercizi e consigli pratici per convincere e ispirare. Per saperne di più: scheda libro.
  • Sempre per Gribaudo: L'INGANNO DEI CONFINI di Simone Guida. La storia delle linee di confine racconta di guerre, aree di potere, separazioni di territori e popoli, spesso avvenute in modo arbitrario: i confini spesso sono convenzioni, frutto di accordi o conquiste militari, ma condizionano le nostre vite e la nostra identità. Per saperne di più: scheda libro.
  • A proposito di geopolitica: GENOCIDIO di Rula Jebreal (Piemme). A metà fra l'autobiografia e un'analisi politica, questo libro punta il dito contro la connivenza del mondo che preferisce stare in silenzio di fronte a quello che sta succedendo in Palestina. Per saperne di più: scheda libro.
  • CON LA GIUSTIZIA IN TESTA di Simonetta Agnello Hornby (Mondadori). Una serie di brevi riflessioni e scritti sulla giustizia e sui meccanismi che stanno alla sua base, oltre alle sue rappresentazioni nell'arte, nella letteratura, nella vita vera e nelle sedi del diritto, tenendo sempre presente le due isole che sono le sue patrie: la Sicilia e l'Inghilterra. Per saperne di più: scheda libro.
  • UNO DIVISO DUE di Massimo Recalcati (Feltrinelli). Saggio sui rapporti tormentati fra fratelli e sorelle. Il primo sentimento istintivo infatti, quando nasce un fratello o una sorella, è l'ostilità, derivante dal fatto di dover condividere con qualcun altro il mondo che fino ad allora è stato indivisibilmente posseduto dal figlio unico. Massimo Recalcati valuta, così, la possibilità di andare oltre a un rapporto conflittuale fra fratelli e sorelle. Per saperne di più: [scheda libro][(https://www.feltrinellieditore.it/opera/uno-diviso-due/).
  • PESCATORE DI PERLE di Alain Finkielkraut (Feltrinelli Gramma). Una raccolta di citazioni e riflessioni, sugli argomenti più disparati e vari, collezionati durante una vita immersa nella letteratura. Per saperne di più: scheda libro.
  • VINCENTE O PERDENTE di Ornella Vanoni e Pacifico (La nave di Teseo). Un'autobiografia che i fan di Ornella Vanoni non possono lasciarsi sfuggire. Per saperne di più: scheda libro.
  • VAN GOGH. PER UN AUTORITRATTO di Massimo Cacciari (Morcelliana). Il celebre filosofo interpreta in modo inedito il lavoro del grande pittore olandese. Per saperne di più: scheda libro.
  • LA SCIENZA DEL NUOTO di Brett Hawke (Gribaudo). Manuale illustrato su come funziona, dal punto di vista fisiologico, lo sport del nuoto e su come perfezionare il proprio stile, con esercizi, programmi di allenamento e consigli. Per saperne di più: scheda libro.
  • I DELITTI NEL GRATTACIELO SULLA QUINTA STRADA di Alessandra Santelli (Newton Compton). Libro da colorare pieno di enigmi e casi da risolvere: ogni pagina propone una scena disseminata di indizi, e il lettore dovrà trovare il colpevole. Per saperne di più: scheda libro.
  • NON POSSO E NON VOGLIO TACERE di Liliana Segre (Solferino). Un volume doppio: nella prima parte presenta un'intervista inedita sulla sorte di Israele e Palestina e sullo sconcerto provocato dalle vittime innocenti, mentre una seconda parte raccoglie gli interventi e i discorsi pubblici più significativi. Per saperne di più: scheda libro.

INFANZIA E RAGAZZI:

  • A VOLTE LE PAROLE di Maria Gianola (Gribaudo). Un albo illustrato poetico e colorato sul potere delle parole e sulla cautela con cui maneggiarle. Età di lettura: dai 24 mesi. Per saperne di più: scheda libro.
  • Sempre per Gribaudo abbiamo due libri cartonati interattivi (età di lettura: dai 3 anni):
    • COM'È FATTO IL TRATTORE (scheda libro): vediamo cosa c'è sotto il cofano del grosso trattore, e a cosa servono i vari strumenti che sono al suo interno.
    • COM'È FATTO IL CAMION DEI POMPIERI (scheda libro: per ogni emergenza (che sia un incendio o un gatto da salvare su un albero), il camion dei pompieri è sempre pronto, ma come funziona e cosa c'è al suo interno? Lo scopriremo con questo libro, pagina dopo pagina.
  • CANE PUZZONE E IL GRANDE GURU di Colas Gutman e Marc Boutavant (Terre di Mezzo). In questo diciassettesimo albo delle avventure di Cane Puzzone e dei suoi amici, un grande santone, ovvero Cane Guru, promette a tutti gli animali di poterli risollevare dalla tristezza della vita di strada. Cane Puzzone e Spiaccigatto, però, capiscono che qualcosa non va... Età di lettura: dai 5 anni. Per saperne di più: scheda libro](https://www.terre.it/prodotto/cane-puzzone-e-il-grande-guru/).
  • Ancora Gribaudo pubblica due kit per gli appassionati di storia e scienze (età di lettura: dai 6 anni): LA MIA SCATOLA DELL'EGITTO (scheda libro) e LA MIA SCATOLA DEGLI INSETTI (scheda libro). I kit contengono un libro di informazioni sull'argomento e un blocco di gesso da scavare e da cui estrarre 6 reperti.
  • GATTINI CARINI E COCCOLOSI (Giunti Demetra). Questo è facile e veloce: si tratta di un libro pieno di adorabili gattini da colorare. Età di lettura: dai 7 anni. Per saperne di più: scheda libro.
  • BOSCOLOSCO di Nadia Shireen (Edizioni EL). Ted e Nancy sono due cuccioli di volpe in fuga dalla Grande Città verso Boscolosco: pensano di andare a vivere in un luogo sicuro e tranquillo, invece si infileranno in un'avventura pazzesca ed esilarante. Età di lettura: dagli 8 anni. Per saperne di più: scheda libro.
  • Sempre le Edizioni El ci propongono: UN CANESTRO PER LA VITTORIA, un libro-game di Luca Tebaldi per lettori dagli 8 anni: come in ogni libro-game, il protagonista è il lettore e attraverso le sue scelte dovrà portare la sua squadra di basket a vincere il campionato. Per saperne di più: scheda libro.
  • EMMA SPARK. LA VETERINARIA DELLE CREATURE MAGICHE di Abi Elphinstone (Gribaudo). Un anziano veterinario di creature magiche sta cercando un apprendista: è la grande occasione per Emma Spark, una ragazzina che sta vivendo un periodo difficile in famiglia. Ci sono tutti gli ingredienti per appassionare gli amanti del genere: avventura, creature magiche (come unicorni e draghi), un cattivo animato dalle peggiori intenzioni e tanta magia. Età di lettura: dagli 8 anni. Per saperne di più: scheda libro.
  • SCARY HARRY. ATTRAVERSO IL BIDONE di Sonja Kaiblinger (Gribaudo). Continua la saga di Scary Harry, un Tristo Mietitore simpatico e bizzarro. In questo quarto volume, alcuni abitanti dell'aldilà stanno facendo ritorno nel mondo dei vivi. Chi ci sarà dietro? Età di lettura: dai 9 anni. Per saperne di più: scheda libro.
  • IL LABIRINTO DELLA SIBYLLA di Pierdomenico Memeo (Giunti). Escape book ambientato in un impero romano che unisce fantascienza e fantasy, grandi macchine mosse dalla magia e dalla tecnologia. Il lettore impersonerà Plinio il Giovane e dovrà salvare il libro nascosto nel Labirinto della Sibilla, prima che il Vesuvio erutti distruggendo tutto. Età di lettura: dai 9 anni. Per saperne di più: scheda libro.
  • LA STRAORDINARIA STORIA DELL'UNIVERSO DAL BIG BANG AL NOSTRO FUTURO di Piero Angela (Rai Libri – Mondadori). Credo che Piero Angela non abbia bisogno di presentazioni: in questo libro traccia una storia dell'intero universo, a partire dalla sua nascita, passando per la comparsa delle prime cellule, fino all'essere umano (e oltre). Età di lettura: dagli 11 anni. Per saperne di più: scheda libro.
  • SULLE ORME DEL PIRATA di Edoardo Maturo (Il Battello a Vapore). Il papà e il nonno di Marco hanno due grandi passioni: il calcio e il ciclismo. Il Giro d'Italia, però, quest'anno partirà proprio il giorno di compleanno di Marco e suo nonno organizza per lui una caccia al tesoro all'inseguimento del “Pirata” Marco Pantani. Età di lettura: dagli 11 anni. Per saperne di più: scheda libro.
  • DIANA E LO SCUDO DELLA DISCORDIA di Marta Palazzesi (Mondadori). Un'avventura in cui la protagonista è proprio lei: la dea della caccia, della luna e della natura. Età di lettura: dagli 11 anni. Per saperne di più: scheda libro.
 
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from norise

Occhi di paradiso

quel giorno che ci hai lasciati parlava il tuo sguardo muto -occhi di paradiso

quel giorno l'angelo ha colto il tuo dolore e lo ha appeso ad una stella

ora tra arcobaleni e vento il tuo aquilone

sparito nell'infinito

è come volesse cercare lì il tuo cuore

.

Giordano Genghini in 100 amiche e amici in Facebook:

(...) ho molto apprezzato i tuoi versi (credo forse di indovinare a chi sono dedicati) che, quasi ricalcando nel titolo il testo religioso “Donna de Paradiso” di Jacopone da Todi, intessono un ricordo, in uno stile che mi fa pensare a un moderno Stilnovismo, in cui la dolcissima persona femminile scomparsa appare come sublime figura, infinitamente superiore a ciò che le brutalità e la materialità dell'odierno mondo ci mettono quotidianamente davanti agli occhi, come colei che è già fra gli angeli, e l' “aquilone” che, come tu scrivi nelle tue sublimi metafore, è “sparito nell'infinito”, come tu concludi, “é come volesse cercare / lì il tuo cuore”. Grazie per avere donato al gruppo e all’ammirazione di chi apprezza i post in esso condivisi – e, dunque, anche alla mia ammirazione – questa stupenda poeticamente, toccante e tenera lirica che, benché essa tratti di una morte, io, per la sua fiducia in ciò che ci attende oltre la fine della nostra esistenza nel mondo materiale, non mi sento di definire triste...

 
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from Il Diario Perduto

Effetto Farfalla.

In un mondo ridotto in rovina, piegato da una Guerra Fredda mai realmente conclusa e da una Terza Guerra Mondiale scatenata da un attacco terroristico, i nostri protagonisti vengono scelti da un'entità aliena extradimensionale.

Questo essere, al di là del tempo e dello spazio, affida loro un compito gravoso: correggere il corso della storia.

Saranno inviati indietro nel tempo, incaricati di portare a termine missioni il cui impatto, seppur all'apparenza minimo, potrà generare quell’effetto farfalla capace di mutare il destino dell’umanità.

Non saranno eroi acclamati, né le loro imprese saranno leggenda. Eppure, nel silenzio dei loro gesti, potrebbe celarsi la speranza di un nuovo futuro.


Spunti d'ambientazione estratti casualmente da manuale “loner”

Paradossi del viaggio nel tempo; Invasione aliena; Diplomazia con i superpoteri; Intuire; Alleare;

 
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from Cooperazione Internazionale di Polizia

Cosa funziona per evitare i furti in casa? I consigli della Rete Europea di Prevenzione

L'EUCPN è la Rete Europea per la Prevenzione della Criminalità. La Rete mira a collegare i livelli locale, nazionale ed europeo e a promuovere la conoscenza e le pratiche di prevenzione della criminalità tra gli Stati membri dell' #UE. Dal 2019, la Rete europea di prevenzione della criminalità (#EUCPN) e diversi paesi europei hanno organizzato il Focus Day dell’UE dedicato ai furti con scasso nelle abitazioni.

La sesta edizione dell'EU Focus Day sui furti in casa si è svolta il 18 giugno 2025. Con una campagna di prevenzione e iniziative locali, l'EUCPN, diversi paesi europei, Europol e la Commissione europea mirano a intensificare la lotta contro questo reato, informando i cittadini sulla possibilità di proteggere la propria abitazione dai furti.

I reati contro la proprietà, e più specificamente i furti con scasso, colpiscono molti cittadini europei. Fortunatamente, i furti con scasso sono prevenibili e non devono essere costosi! La ricerca dimostra chiaramente l'efficacia di serrature migliorate per porte e finestre o di luci esterne che si accendono quando i sensori rilevano movimento e fulmini interni con timer. Queste misure aumentano il rischio di essere scoperti e/o lo sforzo necessario per entrare in un'abitazione. Queste misure di sicurezza migliorate hanno prevenuto un gran numero di reati e hanno portato a un reale calo della criminalità. La morale per chi si occupa della prevenzione dei reati, tuttavia, non è quella di sedersi e rilassarsi. Al contrario! Molte persone sono ancora vittime di furti con scasso. Ecco perché 22 paesi europei, uniti nell'EUCPN (European Crime Prevention Network) e nell'EMPACT, hanno unito le forze per lanciare questa iniziativa.

La campagna di prevenzione #StopDomesticBurglaries si compone di un poster, un volantino, tre brevi post intranet, uno spot radiofonico e un filmato. Il filmato include iniziative degli Stati membri e ispira i partner nazionali a partecipare a questa iniziativa. L'EUCPN ha anche redatto il documento “Cosa funziona per prevenire i furti in casa?”, per supportare gli stakeholder europei, nazionali e locali offrendo una panoramica delle iniziative che potrebbero, o meno, essere efficaci per prevenire i furti in casa. Il documento in italiano è visionabile escaricabile qui https://eucpn.org/sites/default/files/document/files/IT_paper%20domestic%20burglary.pdf- Quest'anno la campagna si è concentrata sull'informare i cittadini che possono proteggere la propria casa dai furti in casa e che non deve essere costoso. L'utilizzo di serrature robuste per porte, illuminazione esterna con sensore, serrature robuste per finestre e illuminazione interna con timer rappresenta la combinazione più efficace per prevenire i furti in casa.

I 22 paesi europei partecipanti nel 2025 sono stati Albania, Belgio, Bulgaria, Repubblica Ceca, Danimarca, Finlandia, Germania, Grecia, Islanda, Irlanda, Italia, Lettonia, Lituania, Lussemburgo, Macedonia, Malta, Polonia, Portogallo, Romania, Spagna, Ucraina e Regno Unito

 
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from Alviro

Disprezzare sistematicamente la direzione scelta dalla maggioranza non è segno di intelligenza superiore, ma di un rifiuto preconcetto che può portare a errori tanto gravi quanto quelli commessi da chi si adegua passivamente.

La folla, infatti, non è sempre sbagliata. Spesso le scelte collettive sono il risultato di un processo condiviso, di conoscenze accumulate e di bisogni comuni. Rifiutare qualcosa solo perché è popolare significa ignorare opportunità, idee valide e progressi nati proprio dalla collaborazione e dal consenso. Inoltre, correre sempre nella direzione opposta può isolare, privandoci del confronto e della crescita che derivano dall'interazione con gli altri.

La vera saggezza non sta nell'opporsi per principio, ma nel valutare con spirito critico ogni situazione, riconoscendo quando è giusto seguire una strada battuta e quando, invece, è necessario tracciare un percorso diverso. A volte la folla si sbaglia, altre volte ha ragione: la differenza sta nella capacità di discernere, non in un ribellismo fine a sé stesso.

L'individualità non si misura contro la massa, ma nella libertà di pensare con autonomia, senza schemi precostituiti.

 
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from filippodb

L’indifferenza è complicità.

Ho vissuto a Venezia, per studio e durante la leva. Per questo, oggi mi unisco con convinzione ai comitati e alle associazioni cittadine che stanno contestando la presenza di Jeff Bezos nella città lagunare. Non è solo una questione simbolica: è una presa di posizione civile contro ciò che rappresenta.

Jeff Bezos non è un semplice imprenditore. È uno dei volti più potenti dell’oligarchia economica che gravita attorno a Donald Trump. Ha sostenuto apertamente la sua campagna elettorale, ha messo a disposizione il Washington Post quando faceva comodo, e si è presentato sorridente e in prima fila al suo insediamento, accanto a Elon Musk e agli altri signori del tecno-capitalismo.

Dietro la facciata dei servizi comodi e delle spedizioni veloci, Amazon è un colosso costruito sullo sfruttamento, sull’elusione fiscale, sulla distruzione del commercio locale e su un modello economico che concentra potere e ricchezza in pochissime mani. A scapito di tutti gli altri.


Ogni acquisto è un voto

Ogni volta che acquistate su Amazon, ogni volta che guardate qualcosa su Prime Video, che fate una diretta su Twitch o dite “Alexa”, state finanziando Bezos. State dando forza a un sistema che calpesta diritti, silenzia giornalisti e artisti, sfrutta lavoratori e svuota interi quartieri di botteghe reali.

La lista delle accuse è lunga e documentata:

George Takei l’ha detto chiaramente:

“Se Jeff Bezos si arrende di fronte al potere, noi consumatori dovremmo mostrargli il nostro. RIMANENDO FUORI DA AMAZON.”


Come vivere senza Amazon e i suoi servizi

Vivere senza Amazon è non solo possibile, ma liberatorio. Dopo più di un anno di boicottaggio, posso confermare che si vive benissimo senza dare un euro a Bezos. Ecco una guida pratica per liberarsi, passo dopo passo:

📚 Libri (al posto di Amazon e Goodreads)

🎥 Video e streaming (al posto di Prime Video e Twitch)

  • Stremio – per guardare film e serie legalmente da più fonti
  • Owncast – alternativa libera a Twitch
  • PeerTube – piattaforma video federata, senza pubblicità e algoritmi tossici

🛍️ Acquisti (senza Amazon)

Elettronica:

Nuovo:

Usato:


🎂 25 anni con Amazon: tempo di cancellare

Quest’anno ho festeggiato i 25 anni da quando avevo aperto un account Amazon. Un pezzo d’archeologia digitale come l’email di Libero, ma era ora di dire basta. Non solo ho smesso di usarlo da tempo: ho deciso di chiuderlo definitivamente.

Se anche voi siete stanchi di finanziare un sistema che va contro i vostri valori, agite. Non limitatevi a lamentarvi. Disattivate. Cancellate. Scegliete.


🧠 Informati, condividi, agisci

📺 Video da vedere assolutamente:

Segui il canale: @unavitasenzabigtech


✊ Scegli da che parte stare

Venezia non ha bisogno di miliardari in yacht che la trattano come una passerella di lusso. Il web non ha bisogno di un monopolio che distrugge ogni forma di alternativa. Il mondo ha bisogno di cittadini consapevoli, non di consumatori passivi.

Bezos può comprare di tutto. Ma non deve comprare anche noi.

È tempo di scegliere. Scegliamo il Piccolo Web. Scegliamo il locale, l’etico, il federato. Scegliamo di dire NO ad Amazon.

Supporta servizi liberi e indipenenti dalle big tech

Il gruppo Devol gestisce un ampio numero di servizi alternativi ad amazon e alle bigtech: https://servizi.devol.it I costi di hosting sono supportati dalle donazioni, puoi sostenere i servizi con liberapay: https://liberapay.com/devol o offrendo un caffè: https://ko-fi.com/devol grazie!

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